Netami Aisu

Identité:

Nom: Aisu
Prénom: Netami
Âge: 17 ans
Statut: Elève
Classe ou matière: Classe C
Options: Art Plastique
Club: Tir a l'arc
Don: ce qu'elle appelle "Item memories", en touchant un objet et avec de la concentration (elle ne peut pas l'utiliser lorsqu'elle est nerveuse, apeuré etc...), Netami peut lire son passé : ce qui est arrivé a l'objet, ce qu'il a "vu". Cependant, elle a vraiment besoin d'être calme, cela lui demande beaucoup d'energie et ce n'est pas sans danger : si elle ne parvient pas a arrêter sa "lecture", le trop plein de "souvenir" de l'objet peut submerger son esprit et alors... Qui sait ce qui lui arrivera.

Profil:

Physique: Netami a de très longs cheveux noirs, lisses et raides, qu'elle coiffe souvent en demi-couettes, des yeux bleu très clairs, et une peau pâle. Elle a des traits assez fins, mais emprunt d'un air froid. Toujours vêtue de noir, parfois accompagné de rouge ou de violet, elle porte des vêtement du style gothique "romance", gothique lolita ou simples, mais noir. Elle porte la jupe de son uniforme longue.

Caractère: Netami est une fille froide, peu bavarde, distante, "indifferente" a tout ce qui se passe autour d'elle, souvent plongée dans ses rêveries. Elle est très independante et a horreur qu'on s'occupe d'elle, on la trouve souvent un livre en main : si ce n'est de la fantasy, c'est des tragédies. Et ou qu'elle aille, elle ne quitte jamais son mp3. Elle s'enerve rarement : elle a appris a canaliser sa colère pour mieux maitriser son pouvoir.

Situation familiale: Père alcoolique vivant sans doute quelque part dans les environs d'Hokkaido. Famille d'adoption : Un père et une mère, une soeur aîné (Aya) : 18 ans, un petit frère (Suko) : 10ans.

Histoire: (Version longue^^")Mon nom est Netami, je suis née dans une famille aisée d'Hokkaido. Depuis ma plus tendre enfance, je lis dans les objets. Pour une raison que j'ignore, c'était très facile comparé a maintenant. Mes parents devaient penser que j'inventait des histoires lorsque je leur racontait la vie du tapis du salon, du manteau de fourure de tante-nelly ou de la maison même... Car ils riaient a ces histoires, j'en concluait donc que c'était tout ce qu'il y avait de plus naturel.
C'est pourquoi je n'ai pas très bien compris lorsque, plus grande, mes parents m'emmenaient chez des medecins tous plus traumatisant les uns que les autres pour moi qui n'avait que sept ans. Ma mère, une adepte du normal, allait de plus en plus mal et se ternissait a vu d'oeil alors que la rumeur "la fille Aisu est une enfant bizarre" s'étendait. C'est sans doute dû a sa depression, qu'elle perdit ma petite soeur qu'elle portait depuis huit mois... Et c'est sans doute pour cela qu'un soir, en rentrant de l'école, je l'ai retrouvée baignant dans son sang, allongé dans la cuisine, les veines des son poignet droit ouvertes...
Les medecins ont traduit mon manque de réaction et mon calme après cet evenement par un choc emotionnel trop fort pour une fillette de neuf ans. Je pense qu'ils ont raison. J'aimais beaucoup ma mère. Mon père devint fou et se renferma sur lui-même. J'ai dû prendre sur moi et apprendre a m'occuper de ma grande maison seule. Peu a peu, il devint violent : l'alcool detruit tout. Il commenca a me battre. J'avais dix ans, lorsque je me suis enfuit de chez moi, préférant la rue sans pitié a cette maison maudite ou la mort avait emporté ma mère, et la folie mon père.
Un gang de Yankee me receuillit... Enfin... Enlevons la connotation chaleureuse du mot. Recevoir des ordres de mes aînés qui me pietinaient en échange d'un bout de pain et d'un toit bancale devint insupportable pour moi, j'aspirais à la liberté... Ils m'ont pourtant appris a survivre dans la rue, mais je finit par les quitter. Et a onze ans, j'ai tué un garçon du gang qui, m'ayant retrouvée, s'apprêtait a me mettre une raclée mortelle. C'était la loi de notre clan. Je me suis cachée pendant de long mois, volant pour me nourrir, me battant avec n'importe qui de ma taille possédant de quoi manger ou se vêtir. Je n'étais pourtant pas spécialement violente de caractère. Mais dans la rue, les faibles ne survivent pas.
Finalement, en regardant les gens de la ville, avoir une famille devint une aspiration pour moi, un rêve. Je me souviens très bien ma rencontre avec les Kamura. C'était noël. Mes dernier jours était comptés. J'étais frigorifié, prostrée dans un coin de la ville, quand Aya, la fille Kamura, accompagné de Suko, qui était alors très jeune, m'a trouvée. Ses parents qui m'ont ramenés chez eux. J'étais trop faible pour songer a me debattre. Plus tard, après de nombreuses fugues et de nombreuses disputes, ils surent gagner ma confiance. Après avoir reglé quelques paperasses, j'étais adoptée. J'avais treize ans. Il me fallut du temps, beaucoup de temps. Ne serait-ce que pour reparler. Puis pour dormir tranquille. Puis pour ne pas me battre contre celui qui m'approchait de trop près. Mais peu à peu, j'ai réappris a vivre. Découvrant mes facultés particulières, ils réagirent a l'opposé de ce que j'attendais... Mme Kamura devint une vrai mère poule, alors que M Kamura pris la chose très bien, et me plaça a Beni-Tsuki. Ce fut la première fois que mon pouvoir ne m'apparut pas comme une malediction. Jusqu'alors, il avait detruit ma vie.

Voilà ^^ je ne ta valide pas encore mais tu as déjà une jolie couleur verte ^^

Je pense que oui, elle sera d'accord pour comencer le rp quand elle rentre...