Alice Kurosu

Identité:

Nom: Kurosu
Prénom: Alice
Âge: 17 ans
Statut: élève
Classe ou matière: Deuxième année A
Options: Français
Club: Journal de l'école.
Don: Alice a la possibilité d'agir sur ses cellules. Elle peut par exemple durcir son bras comme du béton, crocheter une serrure avec ses cheveux, ou encore passer dans des espaces trops étroits en se donnant un brun de plasticité.

Profil:

Physique:
Alice est une jolie petite blonde aux yeux de couleur noisette. D'un physique qui n'a rien d'extraordinaire, on peut tout de même la qualifiée de mignone, avec ses atouts féminins bien mis en valeur, sa peau pâle, ses membres fins et ses courbes agréables à regarder. Vous croiserez souvent Alice avec un sourire espiègle aux lèvres...
Si vous êtes quelque peu attentif, vous pourrez voir qu'Alice a d'étrange marques sur les paumes de ses mains et dans son coup. Cela ressemble à des cicatrices, mais les formes sont bien trop explicites pour que cela soit naturel ou du au simple hasard... En effet, ces étranges cicatrices représentent chacune un croissant de lune, accompagné d'un nuage... Les trois tout à fait identiques, jusqu'à la dimension.

Caractère:
Alice est en effet une jeune fille taquine, qui aime provoquer gentiment les gens. Cela ne lui as d'ailleurs jamais causé le moindre problème, son charisme jouant en sa faveur. Car il s'agit d'une jeune fille pleine de vie et agréable à regardé. Un petit soleil au quotidien.
Pourtant, il arrive à Alice d'être méchante. Ce genre de méchanceté pure et gratuite qui ne sied pas à ses airs angéliques. Cela lui arrive uniquement lorsques certains sujets peu agréables sont abordés, tels que l'origine des marques étranges qu'elle a sur les mains, et celle qui se trouve dans son cou.

Situation familiale:
Alice n'a jamais connu sa famille. Enfin, elle n'a qu'un vague souvenir de son frère ainé, qu'elle n'a plus jamais vu depuis ses trois ans. On sait juste qu'elle est d'origine américaine. Si son nom de famille est Cross, il se prononce à la japonaise: Kurosu.

Histoire:
Alice ne fait pas partie de ces élèves qui ont eu une petite vie tranquille. Non, comme beaucoup de personnes à Beni-Tsuki, elle a connu un destin plutôt tragique. Mais cela n'a rien avoir avec sa famille, la perte d'un être cher ou une enfance difficile. Ou, pour être exacte, c'est tout ça en même temps, mais il faut y ajouter un facteur important: le gouvernement.

Le pouvoir d'Alice s'est manifesté dès sa naissance. Comme beaucoup de personne naissant avec un don, me direz vous. Sauf qu'elle ait née dans un hôpital militaire aux Etats-Unis et que son père travaillait en tant qu'agent secret. Il aurait été exposé à des radiations lors de l'une de ses missions dont on ne connaissait pas les éventuelles conséquences.

Alice eut cependant le loisir de vivre quelques années de sa vie au sein d'une véritable famille. Ses parents avaient eut l'intelligence de cacher le don de leur fille... Cependant, une des sages femmes de l'hôpital les avait trahis et ils étaient sous étroite surveillance.

C'est ainsi qu'après divers incidents (Alice passait entre les barreux de son lit, ou encore, faisait des trous dans les murs avec son petit poing...), des hommes en noirs débarquèrent et embarquèrent l'enfant de trois ans, laissant la mère désespérée, incapable de lutter pour récupérer son second enfant qu'elle chérissait tant. Quand son mari la retrouva ainsi, il essaya bien d'obtenir des informations, mais rien ne lui fut révèlé et il fut relevé de ses fonctions. Le couple et leur fils ainé cherchèrent pendant de long moment ou était caché la petite dernière de leur famille mais ils n'en surent jamais rien.

Que devenait la petite Alice durant ce temps, me direz-vous? Et bien, elle moisissait en cellule, subissait des analyses chaque jour. Réclacitrante, elle ne se laissait plus faire de prises de sang, durcissant son corps comme de la pierre. Elle ignorait bien sûr, en vue de son jeune âge qu'elle ne faisait qu'empirer sa situation. Elle vivait seule, jour et nuit, dans une pièce au verrou électronique, entourée de jouets plus futiles les uns que les autres. Seule, avec ses médecins tout de blanc vêtus qui la manipulait comme un produit dangereux.

Les années passèrent tantôt lentement, tantôt rapidement. On décida d'instruire la petite Alice et on se rendit compte qu'elle était plutôt intelligente. Rien du calcul ou de la grammaire ne lui échappait. On lui donna des livres, les lettres noires étant devenues son seul échapatoire dans ce monde immaculé. Elle se renduit alors compte qu'elle n'était pas ordinaire... Ces marques sur ses mains n'étaient pas ordinaires, celle qu'elle sentait dans son cou non plus. Elle n'aurait pas du être éduqué ainsi, elle devait avoir une famille...

Elle tenta de fuir, comme n'importe qui l'aurait fait lors d'une telle occasion. La vigilance des gardes ne lui permis pas d'aller bien loin. La sécurité se renforça. Les années passèrent et il y eut d'autres tentatives, mais riende concluant.

Quand elle eut 16 ans, quelqu'un se présenta à elle. Un homme étrange, si différent des hommes en blanc. Il tendit simplement la main à la jeune Alice, qui, sans un hésitation, prit entre ses doigts tout frêle. L'homme lui lança un agréable sourire. C'était bien la première fois que quelqu'un lui souriait, et elle trouvait cela encore plus magnifique que dans les livres. C'est d'ailleurs à ce moment là qu'elle se dit qu'elle voudrait sourire toute sa vie, juste pour offrir ce spectacle réjouissant à toute les personne qu'elle apprécierait... Si un jour elle sortait d'ici.

L'homme l'emmena dehors, loin de sa prison, lui certifiant, qu'elle n'y retournerait plus. Cet homme se nommait Maeda-san, comme elle l'apprit juste après. Elle s'émerveillait de tout et de rien. De le voiture qu'ils prirent, des routes, du désert, des arbres, de la ville, des gens... Tout ce qu'elle avait râté défilait sous ses yeux de jeunes filles. Elle découvrait le monde comme jamais, le sourire aux lèvres.

Et Maeda ne cessait de lui parler, de tout de rien, répondant aussi à toutes ses questions sur ce qu'elle voyait de nouveau, patient face à ce jeune esprit en ébullition face à temps de découvertes. Une question de la petite Alice, une seule demanda un temps de réflexion au directeur du lycée de Beni-Tsuki.

"Et ma famille?"

Après de patientes et nouvelles explications, la jeune fille était en larmes. Ce n'était pas la première fois qu'elle pleurait, mais là, elle avait enfin l'impression de comprendre pourquoi. Courageuse, elle demanda à voir les lieux du drame. Une maison ravagée par l'incident. Ses habitants semblaient tous avoir périt.

Quand elle quitta Maeda, bien décidée à découvrir le monde, elle lui promit de le rejoindre au Japon ou il dirigeait une prestigieuse école pour les gens comme elle. Cette promesse, elle l'avait tenue.

Elle commençait désormais sa première année au lycée de la Lune écarlate, en seconde année, classe A.