Le lycée Beni-Tsuki
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Le lycée Beni-Tsuki

Un lycée japonais pas vraiment ordinaire... Ici, tout le monde possède un don !
 
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 Quand vos admins pètent un fusible... Ou quand Misaku relate ses rêves... Partie II

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Midori Crimson
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Midori Crimson


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MessageSujet: Quand vos admins pètent un fusible... Ou quand Misaku relate ses rêves... Partie II   Quand vos admins pètent un fusible... Ou quand Misaku relate ses rêves... Partie II EmptyVen 27 Juin - 11:44

Nous revoici en force et en couleur!

Juste à titre d'information, pour ceux qui tombent là dessus par hasard: la première partie se trouve dans la rue n__n

Ensuite, ben là, ça déraille complètement: adieu le rêve, il s'arrêtait à la récompense! Donc, vous allez pouvoir constatez de notre sens du drame (le mien surtout) et notre bêtise profonde (là encore, pour le coup, c'est moi la plus forte)

J'espère que vous vous amusez à le lire! J'étais en train de penser à d'éventuelles interventions, comme Halloween dans le rôle du voleur parce qu'elle espionnait tout depuis le début x'D (pauvre Hallo, le rôle ne lui convient pas du tout) Mais nous verrons ça dans la partie comité et j'en parlerai d'abord à Umeno.

Vous vous imaginez les fous rires qu'on se tape en écrivant ces trucs? xD Passons, je vous poste la suite =3

Bonne lecture!


Dernière édition par Misaku Kido le Ven 27 Juin - 15:17, édité 1 fois
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Midori Crimson
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Midori Crimson


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MessageSujet: Re: Quand vos admins pètent un fusible... Ou quand Misaku relate ses rêves... Partie II   Quand vos admins pètent un fusible... Ou quand Misaku relate ses rêves... Partie II EmptyVen 27 Juin - 12:00

Quand Misaku réouvrit les yeux, ils étaient devant le lycée.

Umeno, sans que Misaku ne le sache, avait fait le trajet en plusieurs étapes, du fait de poids de la jeune fille... ben oui, même quand on s'appelait Umeno, on était pas un surhomme!

Les yeux encore embués de sommeil, Misaku jeta un oeil à sa montre. Pas de doute, ils allaient se faire enguirlandés.
-Ne me dis pas qu'on as mis tout ce temps pour rentré...
Endormie comme elle était, elle ne prit pas son ton neutre, ou froid, mais elle avait un magnifique air blasé sur le visage. Pourquoi cela ne l'étonnait-elle pas venant du vice président? Elle ajouta, réprimant un bâillement:
-On se se faire tuer.
C'était juste un constatation: demains ils seraient certainement convoqués. Merci le pouvoir de 'vigie' de la concierge...


-Si t'es pas contente, c'est le même prix!
D'ailleurs en parlant de prix.. nan...

Ce n'était qu'une façon de parler, quoi que venant d'Umeno, tout était possible. Toutefois, une Misaku dans le coaltar valait bien deux Umeno. Et oui mes chers, je dis bien deux!
-Quel prix?


Donc. Umeno entra discrètement dans Beni-Tsuki, puis infiltra le dortoirs des filles.

-Tu pouvais me laisser bien avant, murmura la jeune fille. Avoue, tu voulais savoir à quoi ressemble nos dortoirs...

Il posa Misaku doucement contre le mur et lévita jusqu'à la lucarne pour voir si sa coloc' était à l'intérieur. Il ne vit personne, il ouvrit donc la porte.

Et comme il ne répondait pas, Misaku déduit d'elle même:
-J'en était sûre.
A nouveau cet air blasé, mais elle semblait déjà un peu plus réveillée. Elle se demanda même pourquoi Halloween n'avait pas fermer la porte de leur chambre. Quoi que c'était compréhensible, elle n'en avait pas l'utilité.
Elle boitilla jusqu'à la porte, avant qu'Umeno fasse une monumentale co**erie.


*Pourquoi elle avance comme ça? Je vais pas la bouffer quand même!*
*Quoique...*
Umeno, fier d'avoir trouvé une idée si brillante pour humilier sa présidente la suivit dans sa chambre.

-Je peux savoir ce que tu fais là, Date? fit Misaku en s'asseyant sur son lit.
Elle partit à la recherche d'une trousse de soin quelque part dans ses affaires. Ce faisant elle se pencha dangereusement vers sa table de nuit, dos à Umeno, mais toujours assise. Enfin, cela n'empêchait pas la vue d'être intéressante...
Ah. Et n'oublions pas qu'elle lui avait parler pas gentiment du tout. Pour changer


-J'ai quoi en récompense pour t'avoir emmenée jusqu'ici? dit le beau macho (ça riiiiime!) en ricanant
*Mais qu'est-ce qu'elle fout...*

Elle sortit de façon triomphante sa trousse de secours.
-Pardon? Des remerciements ne te suffisent donc pas?
Avisant qu'ils n'étaient éclairés que par la lueur de la lune et ne pouvant se soigner dans ces conditions, elle alluma sa lampe de chevet. Farfouillant dans sa trousse, elle trouva un cachet. Un anti-douleur... De quoi assommer un cheval... Bah elle ferai une petite fièvre et tout le monde croira qu'elle aura bu. Sans plus tergiverser, elle l'avala tout rond.


-On va dire qu'ils auraient pu me suffire de la part de quelqu'un d'autre...

Elle sortit une pommade et un bandage.
-Umeno...
Une idée germait dans la tête très futée de la présidente.
*Une récompense, ne?*


*De quoi elle m'appelle par mon prénom celle-là...*

-Laisse moi me soigner pour commencer.
Encore cette attitude sèche et froide. Ouaip, Misaku, c'était comme un vilain jour d'hiver. Elle trouvait ça amusant de l'appeler par son prénom. Surtout quand il jouait les machos.
Et puis, elle avait dit, pour commencer... Promesse perverse, moquerie ou se contenterait-elle de le frapper?


-Mouais...
Mais le garçon fit tout le même le tour du lit pour voir... enfin...

Elle lança vers lui un regard contrarié.
*Qu'il s'installe pour mater tant qu'il y est!*


Ce qu'il fit allègrement en se posant le cul à terre.

Elle lui lança un regard noir ce coup ci:
-Je t'en prie fait comme chez toi, lâcha-t-elle, acerbe
Heureusement, pas besoin de se déshabiller pour se bander le genoux... bien qu'elle n'était jamais beaucoup habillée... Elle fit un douloureux effort pour tendre sa jambe.


-Merci!
*Qu'est ce qu'elle fout... C'était pas à la cheville qu'elle est blessée?*

Elle commença à se mettre un peu de pommade de façon consciencieuse... sur le genoux. Non, décidément, Umeno n'aurait pas la chance de voir les jambes fuselées de Misaku aujourd'hui! Elle chercha ensuite une bande de crêpe et commença à galérer pour la mettre comme il faut. Mais bon, elle avait l'habitude de se blesser. Ce n'était pas un drame, il n'y avait pas mort d'homme.

Umeno le remarqua... avec un sourire indéfinissable, il lui demanda:
-Tu veux peut-être que je t'aide?

-Non merci, au pire je le referai quand tu sera parti. *Dans une position plus confortable*
Certainement plus intéressante la position d'ailleurs. Elle ne voulait surtout pas le laisser faire quoi que ce soit sur elle. Ce qui pourtant serai justifié vu la récompense qu'elle lui réservait... Donc Misaku finit de mettre sa bande de crêpe, bien serrée malgré tout.


*Mouais...*

-Terminé! De quoi tu parlais donc?

Umeno se releva, content de lui, enfin presque.
-Je demande une récompense pour mon dur travail... Kido-sama...

-Sama? Tu veux donc que je t'appelle Date-san?
Misaku jouait a la perfection son rôle de niaise.


-Pas particulièrement... c'était juste une envie subite...
Et Umeno parfaitement son rôle de pervers! Qui n'en était pas un, de rôle!

-Envie... subite?
Misaku fit mine de réfléchir un instant. Enfin, pour faire comme si elle n'avait rien préparé. Elle afficha un sourire carnassier, dont elle avait le secret, et se leva avec un peu de difficulté.


Umeno se redressa, ne sachant pas trop ce qu'elle allait faire, mais sa fierté l'empêchant de reculer!

Elle s'avança jusqu'à lui, et approcha ses lèvres du cou d'Umeno s'en était fini pour un moment de sa carrière. S'il avait une copine, ça serai encore plus drôle!

Bref, Umeno ne savait que choisir entre le sourire béat ou le recul du fier chevalier.

Il n'en n'eut pas le temps de toute façon... et quelques secondes plus tard, il avait un magnifique suçon bien visible... Pour au moins la semaine à venir.
-Voilà pour ton cadeau! annonça Misaku d'un ton guilleret, qui ne lui ressemblait pas.
Récompense magnifique non?


Il était clair que maintenant, il n'hésitait plus, il opta pour le sourire béat.

-Bref, maintenant, si tu es satisfait, tu peux partir. Tu as pas l'air malin a sourire comme ça, ajouta-t-elle sans se défaire de son sourire et de son ton joyeux.

Umeno se "réveilla" et demanda:
-Et je peux savoir pourquoi tu as fait ça?
C'est vrai que sa fierté en avait quand même prit un coup, malgré la béatitude peinte sur son visage.

-Pourquoi? Ta récompense pardi!
C'était très drôle à voir, vraiment. Elle était fière d'elle, la présidente. Elle ajouta:
-Et puis ça sera amusant, si une fille te plait, tu ne pourras pas l'approcher.
Elle lui fit un beau sourire sadique. Oui, il arrivait à Misaku d'être sadique. D'ailleurs, ça colle plutôt bien avec son caractère, n'est ce pas?


-Comme si ton... truc m'empêcherais d'approcher un jour une fille!
Umeno voulait paraître détendu et éclata d'un rire pas très naturel.

-Non, bien sûr, mais pour une bonne semaine, ça va être difficile de ne pas te faire jeter...
Elle ajouta d'une vois plus aigüe que d'ordinaire:
-Mais dis moi, tu ne m'as pas l'air très à l'aise!


Oserait-il avouer que de toutes façons, malgré ses airs très sûrs de lui, il était beaucoup trop timide pour accoster "pour de vrai" une fille? Noon il mentit donc:
-Tu sais, il existe une merveille de la nature qui s'appelle le col roulé...

-Avec le temps qu'il va faire!?
Elle éclata de rire (pour la première fois) devant Umeno. Un rire léger et frais. Êtes vous surs qu'elle va bien notre chère Misaku?


Umeno se renfrogna...

-Il fallait réfléchir avant de demander une récompense...

*C'est pas une récompense ça, c'est un cadeau empoisonné... *

Misaku se prit la tête entre les mains. Oula. Il valait mieux qu'elle vire Umeno...
-Aurais tu l'intention de t'éterniser ici?


Le jeune homme regarda de droite et de gauche
-Cela serait pas de refus, je n'ai pas tellement envie d'affronter Toya ce soir...

-Affronter Toya-kun? Mais quelle idée, il est adorable! Si tu reste ici, j'irai volontiers le rejoindre!
L'anti-douleur. C'est ce qui lui tournait totalement la tête. C'est certainement pour ça qu'elle nous avait un peu péter un câble.


Umeno failli s'étouffer mais cacha cela par un ricanement.

Et Misaku avait de la fièvre aussi. Cela se voyait grâces à ses joues rosée et à son regard. Mais croyez vous Umeno suffisamment observateur?
-Tu es jaloux?
Mais elle n'était pas pour autant moins sensuelle. Pour le plus grand malheur d'Umeno?


Même s'il détestait à la base Misaku (enfin, détestait...), il ne put s'empêcher de la trouver encore plus... sexy?

-Si tu ne réponds pas, je suppose que oui!

-Non!
Perdre la face... voilà une chose qu'Umeno détestait...

-Que de véhémence!
Misaku souriait. Elle souriait beaucoup trop depuis quelques instants. Pas un sourire moqueur comme d'habitude, non, non. C'était pas net du tout, plus rien n'allait droit.


Mais Umeno bien trop... absent et cherchant comment expliquer son comportement, ne le remarqua pas. Umeno se cherchant des excuses... on aura tout vu!

Misaku enleva sa parka: elle avait chaud à cause de la fièvre. Elle portait donc sa jupe préférée (la noire lacée sur le côté) Et un bustier rouge et noir à bretelles, lacé dans le dos (je le veux le bustier *o*).

Donc, où en étais-je dans mes réflexions sur le pauvre Umeno... Ah oui! Celui-ci ne savait plus trop où se mettre... Certes, il était pervers, certes il avait vécu avec quatre filles pas très farouches, mais tout de même!

-Alors, tu restes ici ou pas? Encore un sourire. Rien ne va plus.

Umeno soupira puis sourit... étrangement... *après tout, sa coloc', cette Halloween, ne doit pas être loin...*
-Je vais m'asseoir là et voir ce que tu donnes.
Oui des propos étranges et incompréhensibles.

-Ce que je donne? demanda Misaku surprise.

-Ce que tu donnes.
Umeno s'assit comme avant et regarda sa présidente.

Misaku ne comprit pas, mais guillerette comme elle était, elle ne s'en préoccupa pas et elle se mis à sautiller.

-Bon, ça a l'air de te faire plaisir...

Et bien que l'anti-douleur fasse effet, le genoux ne supporta forcement...

Le garçon regarda Misaku vaciller dangereusement mais ne bougea pas vraiment pour l'aider. 'Voir ce qu'elle donnait' voilà ce que signifiait ces mots pour Umeno.

Elle s'écrasa les fesses par terre, sans aucune élégance. Encore quelque chose qui ne lui ressemblait pas.
Pauvre genou... demain elle allait morflé. Ou se doper aux anti-douleurs


Tout en soupirant, il se leva, la prit par les épaules et la remit assise sur le lit.

-J'étais bien par terre.
Même dans cet état; elle est chiante. Gamine, mais chiante


-Ben démerde-toi pour retomber, je t'aiderais plus...
*Enfin... on verra...*

-Non...
Umeno s'accroupit devant elle, elle posa son front sur le sien...


Le vice-président déglutit, qu'est-ce qu'elle foutait... Peut-être devrait-il aussi prendre ces drôles de cachets...

-J'ai chaud.
Voilà qu'elle se mettait à geindre.


-Euuuh... c'est vrai que t'as le front chaud...
Il s'écarta d'elle et calqua le visage de Yue malade sur celui de Misaku. De la fièvre... due à quoi? Il baissa les yeux sur son genoux abîmé et remarqua qu'il avait doublé de volume. Sans compter le cachet.

-Putain, t'as fait ton pansement comme une merde... Ca sert à quoi les cachets si c'est pas pour resté tranquille? T'étonnes pas si tu fais de la fièvre.

-Je t'emmerde.

Il prit la jeune femme dans ses bras (et Maaya pourra sauter de joie XD) et l'allongea correctement. Il défit le pansement, évita de regarder sous la jupe en s'imaginant soigner Yue. Il refit le bandage correctement et soupira. Il 'y avait qu'une seule solution pour faire baisser la fièvre mais même s'il en crevait d'envie, Misaku allait le frapper lorsqu'elle serait en forme... Quoique... Il était quand même capable de se défendre contre une fille! Il avait fait les combats de rue après tout!

Misaku aurait bien voulu répliquer, mais elle se sentait vraiment fatiguée... Et vraiment mal.

Quoique... il n'était pas sûre de l'efficacité de cette technique...
Mais il avait une autre idée toute aussi... amusante...
-Allez viens, on va faire baisser ta fièvre...
Oui, Umeno était gentil, mais comme précédemment, cela ne serait pas gratuit!

Misaku qui avait fermer les yeux en réouvrit un. En temps normal elle se serai méfiée de quelque chose. Mais là, elle était complètement assommée par l'anti-douleur.
Donc elle fit juste un petit signe approbatif à Umeno.


Umeno s'étonna ais l'emmena dans la douche, la mis sous le pommeau et ouvrit la pression, température froide. Oh oui, il se délectait de la situation parce que:
1) Misaku lui faisait vivre un enfer, vengeance!!
2) Dommage que les vêtements ne soient pas blancs mais tout de même!

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Dernière édition par Misaku Kido le Mer 30 Juil - 13:19, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Quand vos admins pètent un fusible... Ou quand Misaku relate ses rêves... Partie II   Quand vos admins pètent un fusible... Ou quand Misaku relate ses rêves... Partie II EmptyVen 27 Juin - 13:05

Misaku hurla.
Heureusement que c'était insonorisé ici...
Mais elle hurla tout de même et fort. Le choc thermique... Wosh. Un truc de fou faut pas croire.
Elle éteignit l'eau de façon précipitée; et planta foudroya Umeno du regard.
-Mais tu es complètement malade, sombre crétin dégénéré!


-Jusqu'à preuve du contraire, c'était toi qui l'était!

-C'est que tu te fous de ma gueule en plus! Personne ne t'as demander de t'occuper de moi! J'ai vu pire tu sais!


-Dans ce cas...
Umeno sourit mais ne savait pas vraiment pourquoi...
-Tu veux que je te laisse toue seule?

-Je te rappelle que c'est toi qui refuse de partir!
Cela faisait un moment qu'elle disait à Umeno de se casser. Même si elle n'avait pas envie d'être toute seule.
-Toi et tes maudites récompenses!
Jamais elle n'avouerait qu'elle ne voulait pas être seule...
*Et puis halloween va bien finir par rentré* pensa-t-elle pour se convaincre.


Ricanements.
-Toi, tu ferais quelque chose gratuitement?
Même s'il essayait de ne pas se l'avouer, ils étaient presque semblables... Sans parents, vivant dans la rue, combats, re-combats...

-Non, mais je ne suis pas comme toi, lâcha-t-elle pour se convaincre. Je t'aurais ramené, mais jamais je t'aurais demandé quoi que ce soit comme ça.
Visiblement, misaku était à bout de nerfs Poings et mâchoire serrés. La journée n'avait été que trop éprouvante.


*C'est clair que moi j'aurais jamais fait QUE un suçon... *
-Dans ce cas, je te laisse...
Umeno se leva mais au lieu de sortir de la chambre, il retourna au lit et lévita jusqu'au plafond pour observer Misaku... De plus, il pourrait avoir une belle vue, d'ici!

Dommage pour le pauvre Umeno, Misaku décida de prendre une douche, trempée comme elle était. Elle enleva ses vêtements dans la salle de bain,
loin des yeux du pervers. Une douche bien brulante mais rapide toutefois, trop désireuse de se coucher. Elle enfila ensuite un peignoir, ouvrit la fenêtre à Tanwen qui grattait à la vitre, puis se laissa tomber sur le ventre dans son lit. Le chat vint se Lover contre elle.
-Tu sais que j'en ai marre de ce lycée, la bête, murmura-t-elle à l'adresse du chat.


Umeno observait tout cela depuis son haut perchoir et se demanda comment une fille aussi brute pouvait-elle avoir un animal aussi... doux?

-Et puis cet Umeno me fatigue sérieusement...
Cela, ce n'était pas du nouveau. Par contre, c'est le pourquoi que Misaku ne comprenait pas. Mais elle ne le dit pas à voix haute.
Tanwen miaula une fois de plus et se mit à ronronner.
-Je pense sincèrement à remonter un gang. Combat, grand air, adrénaline, je crois que c'est ce qui me va le mieux.
La le chat fut visiblement pas d'accord. La minette cessa de ronronner et descendit du lit pour se recoucher devant la fenêtre. Mais Misaku ne changeait pas d'avis pour autant. Son ancienne vie lui manquait. Attendre la fin de l'année? D'ici là, elle serai devenue dingue. Elle se sentait comme emprisonné ici. Partir pour une durée indéterminée pour revenir? C'était risible. Jouer un double jeu? Impossible, trop de responsabilités au bahut, encore plus si elle monte un gang. Elle ne pourra pas protéger efficacement ses membres si elle n'est pas en permanence avec eux.
Mais elle n'en pouvait plus. Elle avait besoin d'air, et pas d'un lycée aux allures paradisiaque, surveillé sans cesse par le gouvernement.
Elle avait besoin de revoir Rendan, même si ce dernier ne voulait pas.
Elle se sentait perdue et se surpris à pleurer, pour la seconde fois de la journée.


Déstabilisé, le vice-président se déconcentra et perdit le contrôle sur sa lévitation. Il tomba à plat ventre à côté du lit en un gros PAF.

Misaku se redressa, poing armé: elle avait frôler la crise cardiaque... et n'avait pas prit le temps de sècher ses larmes (pourtant très important).
-Mais ce n'est pas vrai! Dites moi que je rêve!
Tanwen eu un miaulement, qu'on aurait pu jurer moqueur.


Umeno se releva, habitué à la douleur mais tout de même! Il se remit debout, face à la colère dévastatrice de Misaku. Non, il ne demanderait pas pardon! Non, il ne regrettait pas d'être resté... Voir quelqu'un en larmes ne l'intéressait pas vraiment, mais voir la présidente en pleurs, ça, ça valait toutes les douleurs!

Ouais, ben en attendant, elle se tapait la honte de sa vie la présidente, et jamais elle n'avait été aussi en colère. Alors, elle fit ce qu'elle savait mieux faire, elle se leva, faisant fi de la douleur de son genoux (car les effets de l'anti douleur se dissipaient; resserra la ceinture de son peignoir et mis un coup de poing à Umeno. Coup de poing qui, restera dans les anales.


Habitué comme dit plus tôt à la douleur, ce n'est pas pour autant qu'il ne sentit pas passer le coup de Misaku... Avec son principe de ne pas frapper les filles, Umeno se tâta quand même pour renvoyer sa main dans la figure de la présidente.

-Mais si c'est ça que tu cherchais dès le départ, je t'aurais frapper tout de suite hurla Misaku. Tu voulais me pousser à bout? C'est fait!


-Me dit quand même pas que c'est MOI qui t'ai forcé à pleurer maintenant!

-On a pas idée d'espionner les...
Elle ne finit pas sa phrase.
Pleurer.
Fausse note pour le pauvre Umeno.
Un magnifique coup de talon dans le plexus solaire.


Depuis le temps des combats de rue, Umeno avait appris à reprendre vite fait sa respiration et sourit à Misaku:
-Quoi? Tu veux que j'utilise un autre mot? Chialer? Chouiner? Pleurnicher?"

Rendre Misaku folle de rage... et bien! Il avait réussi! S'il continuait, il allait passé par la fenêtre!
Un coup de coude dans la trachée... loupé, il avait esquivé... heureusement, il serai mort sinon, incapable de respirer.


Aux chiottes ses principes! En une fraction de seconde, il avait fauché les jambes de Misaku qui tenta d'esquiver.

Les jambes de Misaku... avec un genoux en vrac: ça faisait mal. Très mal. Un point faible qu'il n'avais pas rechigner a frapper. Elle tomba.


Umeno se redressa et lui jeta un regard noir:
-Tu connais la rue mieux que moi... Là bas c'est tu marches ou tu crèves... Alors lève-toi et marche!
Le jeune homme n'avait presque plus rien à voir avec ce qu'il était avant, à peu près gentil, macho...
Non, là il était redevenu ce qu'il était il y a quelques années, quand il était Baby Face.

Elle se releva faisant fi à nouveau de la douleur. Le combat aurait pu s'éterniser, mais Misaku n'était pas en état. Elle ignora Umeno, attrapa quelques fringues et se changea dans la salle de bain. Puis elle revint, habillée d'un pantalon, d'une veste en cuir et de ses bottes; tout de noir. Elle attrapa ensuite un sac ramassa quelques affaires.
Elle se rendit ensuite près de la fenêtre, câlina Tanwen. Elle savait que quelqu'un prendra soin de sa bête. Elle se dirigea, enfin vers la porte, sortit et la claqua. et cela, sans un regard au garçon. Un regard dur affiché sur le visage...


*Evidemment...*


EN CONSTRUCTION


Dernière édition par Misaku Kido le Mer 30 Juil - 13:22, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Quand vos admins pètent un fusible... Ou quand Misaku relate ses rêves... Partie II   Quand vos admins pètent un fusible... Ou quand Misaku relate ses rêves... Partie II EmptyVen 27 Juin - 15:18

Et bien, voila qui ma pris du temps u__u

Suite au comité des élèves =D
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Quand vos admins pètent un fusible... Ou quand Misaku relate ses rêves... Partie II
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