¤Beni-Hime¤

Identité:

Nom: Crimson
Prénom: Midori
Surnom: Beni-Hime
Âge: 29 ans
Statut: Professeur
Classe ou matière: Anglais
Options: ///
Club: ///
Don: Elle maitrise l'art ancestral des parchemins. C'est elle qui contrôle les protections du lycée Beni Tsuki et part conséquent, elle est très limité dans ses pouvoirs. Elle doit en effet faire attention à ce que son énergie vitale ne soit pas entièrement aspirée par le sort, sachant que celui qui protège le lycée lui pompe de l'énergie en permance. Toutefois, seuls les professeurs du lycée et les membres du comité des élèves connaissent son pouvoir qui a pourtant son importance. Elle reste un mystère pour ses élèves.

Profil:

Physique:
Midori a des cheveux bruns aux reflets rouges et des yeux bleu qu'on pourrait qualifier de foncé. Elle est grande et fine. Trop fine même, bien qu'elle ai des formes avantageuses.

Caractère:
Douce et sévère à la fois, très nature, Midori est plutôt lunatique. Une minute elle sifflote d'un pas dansant, craie à la main devant son tableau, la seconde qui suit elle s'énerve contre un élève sans raison apparente. Elle est aussi souvent malade et de faible constitution physique. Cela est du à son don qui lui pompe sans cesse de l'énergie, protection du lycée y oblige. Toutefois, c'est une battante: elle ne s'avoue jamais vaincue et prend ses obligations très au sérieux.

Situation familiale:
Sa mère est chinoise, son père japonais, son grand père américain. Ils sont à l'heure actuelle tous mort. Fille unique, elle tiens son don de sa mère. Pourtant, elle ne l'a découvert que très tardivement, ayant été séparée de celle-ci.

Histoire:
Midori était une adolescente ordinaire. Fille unique, elle passe une grande partie de son enfance en Chine. Jusqu'au divorce de ses parents en fait. A ses quatorze ans, elle se voit obligée de quitter sa mère pour aller vivre au japon. C'est à ce moment là que sa vie bascula. Le jour ou elle appris le le décès de sa mère à la suite d'une confrontation judiciaire entre les deux ex-époux pour obtenir la garde de la jeune Midori. Confrontation que la mère avait gagné.

Pendant trois ans, elle essaya de se convaincre que ce n'étais pas son père. Trois longues années passées dans l'incertitude. Des rêves affreux hantaient ses nuits. Cela pris fin, un jour, lorsque son père eut un accident de la route. Il lui confia alors une clef, sur son lit d'hôpital, tout en murmurant des excuses incompréhensible. Son père mourut dans la demi heure qui suivit.

Ravagée par le chagrin, Midori retourna à sa chambre. Rien de pire aurait pu arrivé. Orpheline. Ce mot la hanta pendant trois jours. trois jours ou elle resta enfermée dans sa chambre. Déjà pas bien grosse, elle perdit des kilos. Elle se rendit aux funérailles de son père, puis commença à aller mieux. Elle avait décider de ne pas se morfondre plus longtemps: Midori était une battante. Toutefois, elle n'avait pas chercher à ouvrir le coffre auquel appartenait la clef. Elle ne se sentait pas prête. Elle les rangea donc dans un carton au fond d'un placard. Cela attendrait. Elle avait peur de ce qu'elle pourrait découvrir. Elle ignorait encore qu'elle avait bien des raisons de s'inquiéter.

Deux ans passèrent ou elle fini brillamment ses études. C'est à cette époque qu'elle fit la rencontre d'un professeur étrange. Plus qu'étrange. Il se nommait Maeda et n'arrêtait pas de lui dire qu'elle était spéciale. Et le pire c'est qu'il ne la draguait pas. Cet excentrique lui disait ça avec le plus grand des sérieux, lui sous entendant d'ouvrir ce coffre. Mais comment diable pouvait-il être au courant? Bien plus tard, Midori apprendra que c'était un ami proche de sa mère et se joindra alors au lycée Beni-Tsuki ou elle sera professeur d'anglais. Il lui révèlera aussi qu'ils ne s'étaient pas rencontrés plus tôt car le père de la jeune fille s'y opposait.

Un soir, enfin, elle ouvrit le petit coffre. Il y avait un mot de sa mère, dedans. Juste: 'tu as un don'. Pas de je t'aime, pas de je regrette. Pas même de signature. Juste ça, de son écriture penchée si particulière. Elle restait quelques minutes interdites, refermant le coffre, refusant de voir ce qu'il y avait à l'intérieur. Très terre à terre, elle ne voulait pas croire à ces sottises... Et pourtant. La curiosité l'emporta. Le lendemain, elle ouvrit à nouveau le coffret. Un petit éventail, des parchemins, et un vieil ouvrage. L'Art qu'il enseignait s'était vite révéler fascinant. Midori laissa de côté ses préjugés et s'essaya. D'abord sur sa propre maison. Puis plus grande échelle. Puis sur des personnes. Fascinant était finalement un mot qui pesait peu. Dissimuler, protéger, maudire... Quelles possibilités! Bien sur, il y avait des limites: le sort la privait de l'énergie vitale équivalente à celle nécessaire pour son fonctionnement.

Maeda vint a nouveau la trouver. Il lui fit part de ses projets, lui expliquant que suite à la mort de la mère de Midori, plus personne ne protégeait efficacement le Lycée pour élèves spéciaux. De même s'était là la raison du divorce de ses parents: sa mère avait fait passer les intérêts du lycée avant sa famille. Quand à la mort mystérieuse, elle n'était du qu'au fait que le lycée avait connu un grand chamboulement qui avait ébranlé les défenses provoquant par la même occasion la mort de la protectrice. Reprendre l'œuvre de sa mère. Voilà une chance inespérée pour Midori. devenir la nouvelle Beni-Hime. La princesse écarlate. Elle même qui avait donné son nom au lycée.

Et cela à cause du rituel. Une nuit de pleine lune, Midori utilisa quatre parchemins, les quatre points cardinaux écrits de son sang. Une protection puissante, mais au contre coup inévitable: impossibilité de s'éloigner du Lycée... De plus, si un malheur devait arrivé, si le lycée était attaqué par quelqu'un capable de détruire le sort, elle serai par conséquent tuée. Et elle en a bien conscience...